Tout en jeux de lumières, Charlie Winston.

Tout en jeux de lumières, Charlie Winston.

Chaque année, les Nuits de Fourvière n’ont pas peur du mélange des genres. Les organisateurs l’ont encore prouvé ce mercredi 29 juillet, en proposant la scène du théâtre antique à deux formations qui n’ont, a priori, pas grand chose en commun. Le chanteur britannique Charlie Winston et le Broken Circle Breakdown Bluegrass Band, groupe de country belge.

Johan Heldenbergh et Veerle Baetens, alias Didier et Elise dans le film Alabama Monroe, ont marqué de leur empreinte les Nuits de Fourvière.

Johan Heldenbergh et Veerle Baetens, alias Didier et Elise dans le film Alabama Monroe, ont marqué de leur empreinte les Nuits de Fourvière.

Alors que le premier (ou plutôt le second à occuper la scène) a gratifié les 4000 spectateurs d’un show mi-électro mi-pop, les seconds ont joué une quinzaine de morceaux country, des standards notamment issus du film dont la bande originale les a fait connaître, Alabama Monroe dont voici la bande annonce.

Il faut bien le reconnaître, le film est beaucoup plus sombre que ne le laisse supposer la bande annonce… ou Johan Heldenbergh, alias Didier dans le film, et sa bande sur scène, jamais avare d’une petite blagounette. Une petite dizaine de musiciens a joué pendant une bonne heure et demie, emmenée par Johan Heldenbergh, donc, mais aussi Veerle Baetens, la jolie cow girl belge.

Et la suite ? La suite, c’est Charlie Winston. LE showman au chapeau. Un vrai marsupial sur scène, qui n’hésite pas à sauter dans le public, fendre la foule, revenir, mimer, jouer, chanter, de ses derniers titres à celui qui l’a fait connaître, Hobo. Après des soirées comme celles-ci, on a hâte de savoir ce que nous réservent les Nuits de Fourvière 2016.

Allez, un p’tit Hobo pour la route.

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Written by Audrey

Wohdrey, fondatrice du blog De Lyon en Large, pour prendre le large à Lyon... et ailleurs !

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